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Une étude dirigée par Nadège Bercovici, équipe Emmanuel Donnadieu
En immunothérapie du cancer, les études effectuées sur des modèles de tumeurs transplantées chez la souris aboutissent souvent à des résultats très prometteurs. Hélas, bien souvent, ces mêmes traitements sont en échec dans les carcinomes humains ou dans des modèles murins de tumeurs spontanées. Pourquoi ? Le groupe de Nadège Bercovici à l'Institut Cochin vient de trouver un début d'explication. Ils ont montré que le TGFbeta, molécule de mauvais pronostic abondante dans de nombreuses tumeurs humaines, est également présent dans des tumeurs mammaires murines spontanées, dans lesquelles il empêche l’action de traitements anticancéreux.
Une étude de l'équipe de Véronique Witko-Sarsat
Le neutrophile est une cellule essentielle de la défense contre les bactéries qu’il détruit grâce à des médiateurs très puissants comme les espèces réactives de l’oxygène, produites en grandes quantités après activation de la NADPH oxydase (NOX2). Ce phénomène est appelé « l’explosion respiratoire ». Si l’activation et l’élimination des neutrophiles du site inflammatoire ne sont pas contrôlées, l'inflammation persiste et le neutrophile devient un acteur dangereux capable d’endommager les tissus.
La granulomatose avec polyangéite (GPA) est une vascularite caractérisée par une inflammation des vaisseaux et une atteinte pulmonaire et rénale. C’est une maladie systémique, mortelle en l’absence de traitement. Les polynucléaires neutrophiles sont des acteurs majeurs de la GPA car ils sont responsables de la nécrose des vaisseaux.
Etude dirigée par Michaela Fontenay, publiée dans Science Translational Medicine
L'hepcidine, décrite par l’équipe de Sophie Vaulont à l’Institut Cochin est une hormone peptidique produite par le foie qui est le principal régulateur de l’homéostasie du fer chez les mammifères, permettant l’adaptation des taux de fer circulant selon les besoins en régulant l’import de fer dans le duodénum et le recyclage du fer par les macrophages. L’érythroferrone a été décrite pour la première fois comme étant le régulateur érythroïde majeur de l’hepcidine dans l’équipe de T Ganz (Université de Californie, Los Angeles) par Léon Kautz.