Supprimer cookies
Afin de vous fournir la meilleure expérience en ligne, ce site utilise des cookies.
En utilisant notre site Web, vous acceptez notre utilisation de cookies.
J'accepte
Étude dirigée par Michaela Fontenay, Equipe Hématopoïèse normale et pathologique, DRC
Dans un article paru dans le journal Blood, l’équipe dirigée par Michaela Fontenay montre le rôle de la protéine p53 dans la différentiation érythroïde en lien avec la formation des ribosomes. Cette étude a des implications potentielles dans le traitement d’anémies dues à des anomalies des ribosomes.
La cinétique d’extinction de la biogenèse du ribosome est déterminante pour permettre la différenciation érythroïde normale.
Équipe Peyssonnaux
Publiée dans Blood Advances, cette étude identifie le rôle de l'hepcidine dans le maintien du fer intracellulaire des neutrophiles. En condition de surcharge en fer primaire, telle que l'hémochromatose héréditaire, le manque d'hepcidine protège le neutrophile d'un excès de fer. La surcharge en fer systémique s'associe à une pré-activation des neutrophiles.
Équipe Clarisse Berlioz-Torrent et Stéphane Emiliani
Lors de l’infection de lymphocytes T par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), plus d’une cinquantaine d’ARNs viraux sont générés par un mécanisme d’épissage alternatif. Une production contrôlée de ces différents ARNs au cours de l’infection est déterminante pour une réplication efficace du virus. L’équipe Interaction hôte-virus, en collaboration avec la plateforme de Génomique de l’IBENS, a utilisé la troisième génération de séquençage « pleine longueur » (MinION, d’Oxford Nanopore Technologies) pour analyser de façon dynamique l’intégralité du transcriptome du VIH exprimé dans des lymphocytes T primaires lors des phases précoces de l’infection. Cette étude a été publiée dans la revue Retrovirology.
Etude co-dirigée par Michaela Fontenay<
L’équipe de Michaela Fontenay* associée aux cliniciens-chercheurs de l’hôpital Cochin et de l’Institut Cochin Frédéric Pène** et Luc Mouthon*** et aux cliniciens de l’Hôtel-Dieu (Delphine Cantin), a mené en collaboration avec les équipes d’Eric Solary (Institut Gustave Roussy) et de Florent Ginhoux (Singapore Immunology Network), une étude qui révèle que les patients atteints d’une forme grave de la COVID-19 présentent un déficit des fonctions de l’immunité innée des cellules myéloïdes (polynucléaires neutrophiles, monocytes), associé à un taux très élevé de calprotectine dans le sang. Cette étude est parue dans Cell.
Une étude récente sous la direction de Fatah OUAAZ, au sein de l’équipe "Biologie des phagocytes, infection et immunité” dirigée par Florence Niedergang, montre pour la première fois que la régurgitation de l’antigène par les cellules dendritiques représente un nouveau mécanisme extracellulaire d’activation précoce des lymphocytes B. Ces travaux sont publiés dans The Journal of Immunology.